jeudi 24 août 2017

PROXÉNÉTISME : Cheikh Sarr écope de 3 mois de prison

Reconnu coupable de proxénétisme, Cheikh Sarr a écopé hier de deux mois de prison ferme. Il a comparu en même temps que la prostituée mariée et mère d’un enfant  Ng. Sène, qui ne manquait pas de lui verser sa part. Soit 1000 francs par passe de 3000 francs.



C’est  un caïd ahuri par la facilité de la prostitution. Il organise et tire profit de ce commerce tous les jours à Yeumbeul. Mais Cheikh Sarr n’a pu se cacher longtemps dans son « travail secret ». Attrait à la barre du tribunal des flagrants délits ce jeudi 17 août 2017, il a été condamné à une peine de trois mois de prison ferme. Son acolyte, Ng. Sène, prostituée mariée et mère d’un enfant, a été condamné à une peine d’un mois assortie de sursis.

Le marketing de son business, c’est Cheikh Sarr lui-même qui s’en charge. De la manière la plus discrète. Il trouve les potentiels clients et les accueille dans sa maison. Chauffeur, il explique souvent la forte présence des hommes chez lui comme une simple fréquentation entre copains conducteurs. Chez Sarr, habituellement, les files d’attente sont des plus longues. Les voisins, qui ne sont pas dupes, ont porté les faits à la connaissance de la police.

Le 14 août dernier, Ng. Sène, épouse et maman, la trentaine sonnée, a été surprise dans une position indécente dans ‘’l’auberge clandestine’’. Interpellé, le sieur  Dame Ngom, qui  était dans la même chambre qu’elle au moment de l’arrestation, a avoué qu’il était venu sur recommandation du sieur Sarr.

À la barre, Cheikh Sarr nie tout. Il réfute même avoir connu la jeune dame. Abattu par la tournure des choses, il baisse le regard, l’air résigné. Ng. Sène, qui avait commencé par des dénégations, a fini par admettre que la police l’avait intimé l’ordre de se rhabiller. Comme quoi, elle était en action au moment de son arrestation. Là, elle reconnait avoir été employée par Cheikh Sarr qui, ce jour-là, l’avait mis en contact avec six partenaires. Couverte d’un voile bleu, elle rajoute qu’il devait percevoir en retour 1000 francs pour chaque passe de 3000 francs.
  
Si la jeune dame s’en est sortie avec un mois de sursis, pour défaut de carnet sanitaire, Cheikh Sarr, va bien séjourner à Rebeuss,  avec déjà des regrets : « Je demande pardon à mes parents. »

Aminata FAYE

La ruse de l’étudiant arnaqueur

La Sonatel est sortie gagnante de son procès contre le jeune étudiant arnaqueur du service Orange Money. Massaly Mbodj a écopé hier d’une peine de 2 ans assortie de sursis avec une amende d’un million de francs CFA.

Futé, Massyla Mbodj l’est déjà. Seulement en première année à la Faculté des lettres de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, il maîtrise l’accès à un système informatique. Mais de manière frauduleuse. Hier, devant le tribunal, il a été condamné à une peine de deux ans avec sursis. En sus d’une lourde amende d’un million de francs Cfa. Il a été  arrêté  à la suite  d’une opération qui remonte au 10 juillet 2017. Date à laquelle le sieur FAYE, représentant de la Sonatel, s’est présenté à la Section de Recherches de la caserne Samba Diery Diallo. Il résulte de son interrogation que le malfaiteur s’était rendu en agence pour l’identification de ses deux numéros achetés dans le marché. Par conséquent, il s’est présenté par une carte d’identité différente de la sienne et a pu soutirer les sommes de cinquante mille et trente six mille francs Cfa du téléphone d’un gérant de point de transfert d’argent à l’UCAD.

Le procédé est simple. Partout où il se rend, il fait tomber le téléphone qui doit faire la transaction et le ramasse  en pièces détachées pour ensuite échanger la puce. Une fois retirée, il verse le solde dans ses deux numéros. Avec la puce volée, il crée des comptes Orange Money pour ses deux numéros.  Et c’est subséquemment qu’il va arnaquer avec comme prochaine cible A. Diallo, employée à la Sonatel de Guédiawaye. Et ainsi de suite jusqu’à ce que la Sonatel relève une somme totale de huit cent quatre vingt deux mille francs CFA. La cinquième fois qu’il s’est rendu au point de transfert d’argent, il a, au moment de faire un dépôt d’argent, transféré  deux cent mille francs CFA. Ce dernier transfert est finalement resté vain, puisqu’il ne l’a pas retiré.

À la barre, contrairement à sa déclaration à l’enquête préliminaire, il admet seulement la détention d’une autre carte d’identité. Mais au fil des échanges, il finit par reconnaître avoir volé la somme de cinq cent trente-deux mille. Ses dénégations se succèdent et s’enchaînent face aux questions du parquet et des avocats. Sur les nombreuses transactions, il soutient que le téléphone qu’il possédait au moment de son arrestation a déjà été utilisé par un certain Abdoulaye Diop.  Mieux, il  déclare avoir acheté ses 4 numéros  à Colobane pour se connecter à internet. À la question du procureur de savoir où se trouve ce dernier, il rétorque qu’il l’ignore et qu’il ne l’a pas revu depuis cet échange.

Selon le procureur, les faits sont constants. L’arnaqueur a accédé à un système informatique de manière frauduleuse. Il a requis une peine de 2 ans dont 6 mois de prison ferme. Quant à l’avocat de la défense, par ailleurs promotionnaire du père du prévenu, il a exprimé toute sa désolation. Soulignant ainsi que ce sont des faits qui ne ressemblent pas à son papa, ancien policier. Son défenseur qui s’est constitué d’office admet la constance des faits mais  sollicite la clémence du juge. Indulgent à son endroit, ce dernier lui a infligé une peine d’amende. Le prix du pardon…

Aminata FAYE

KABACOTO EN IMAGES : Au cœur d’une nature précieuse et exubérante

A l’opposée du tourisme de masse, une destination ‘’ nature’’ avec des maisons les pieds dans l’herbe. Kabacoto, une localité toute verte, avec ses villages voisins médiévaux coincés entre foret et fleuve. Les enthousiasmes des adultes se résument en ce début Août 2017 à l’activité agricole, aux travaux ménagers et repos. Quant aux enfants, ils déambulent dans les rues en longueur de journée. 










Une agriculture au rythme de la Daba


Kabacoto possède une verdure attirante et impressionnante. Ici, 99% de la population sont des cultivateurs. Mais on n'est toujours pas à l'ère de la modernité. 


 A kabacoto cette année, les champs sont cultivés toujours au rythme de la daba, des charrues et de l’hilaire. L’agriculture y est basée sur une technologie archaïque héritée de plusieurs générations. 


D'aucuns utilisent toujours le matériel agricole distribué au temps du premier président du Sénégal, Léopold Sédar Senghor.

Malgré le large espace qui lui est consacré, le paysan cultive d’abord pour consommer. C’est le reste de la récolte qui est vendu soit dans les marchés hebdomadaires, soit aux Chinois qui disent-ils viennent acheter. 

Dans les champs les bornes qui séparent les terres ne sont pas visibles. Pourtant chacun sait délimiter sa propriété. Les belles lignes de l’arachide se dessinent près du mil et du maïs. Ce sont d’ailleurs ces trois variétés que cultivent tous les paysans de Kabacoto.
                                                                                                                         
                                                                                                                         AMINATA FAYE

ELECTRICITÉ: Obscurité générale à Dabaly



Dabaly n’a jamais eu accès à l’électricité. Malgré moult promesses des gouvernements du Sénégal, cette localité continue de vivre dans l’obscurité. Les rares maisons qui disposent de panneaux solaires sont celles qui comptent au moins un ou deux émigrés. Ces panneaux n’alimentent d’ailleurs que les lampes et les petits téléviseurs. La nuit, seule la lune éclaire la commune...
                                                              AMINATA FAYE

Tapalapa, le pain coutumier



Plus consistant que la baguette vendue en ville, le ‘’tapalapa’’ est à la portée de tous, à seulement 100 FCFA l’unité. C’est le seul pain disponible dans la commune de Dabaly. Les revendeurs en tirent un bénéfice de 10 à 15 Francs. Cuit au feu de bois dans un four en banco, ce pain traditionnel est composé de farine de blé, d’eau, du sel et de levure. Le consommateur local le préfère à celui produit par les boulangers ‘’modernes’’. Le ‘’tapalapa’’ est présenté sur des  tables, en tas, parfois sans la moindre hygiène. 
                                                                                                                         AMINATA FAYE

Forage à eau salée: l'eau de puits bue à grande joie

Puits de Kabacoto

L’eau à Dabaly est salée, impropre à la consommation. Celle de son forage l’est également. Ce qui coule des robinets ne sert que pour le linge et les travaux ménagers. Elle n’est même pas utilisée pour le maraîchage. Pour se désaltérer on se contente de celle des puits jugée plus douce. On y ajoute quelques gouttes d’eau de javel. 
                                                                                                                        AMINATA FAYE

AGRICULTURE: Du champ à la balance !


Paysans de Dabaly Kabacoto

Kabacoto et Dabaly écoulent leurs récoltes les mardis, à Kaymor, la seule commune disposant d’un ‘’louma’’. Le marché hebdomadaire donne l’occasion aux cultivateurs de venir vendre, acheter ou échanger des produits. Le kilogramme de vivres se vend à 210 Francs, 10 francs de plus que le prix de vente en gros pour, dit-on, plus de facilité à l’accès. 

                                                                                                                        AMINATA FAYE

Commune de Dabaly: Un village, un tracteur


Le tracteur de Kaymor

20.000 FCFA. C’est le prix de la location d’un tracteur à Kabacoto. Il est valable pour un hectare. A kaymor c’est à 13.500 FCFA. A Dabaly 15.000 FCFA. L’usage est plutôt fréquent à Kaymor où les populations se sont entendues sur un prix dans le simple but de pouvoir en acheter un autre d’ici à l’année prochaine. Ce tracteur livré au mois de Juin dernier, est un don d’une organisation chinoise dont elles ont oublié le nom. Le matériel de dernière génération peut se compter sur les doigts d’une main. Seulement sept semoirs ont été livrés aux paysans qui  représentent 99% de la population, à Kabacoto. Ce, alors qu’en moyenne, on estime que chaque maison possède cinq champs.
                                                                                                                         AMINATA FAYE

vendredi 14 juillet 2017

Les Sarl désormais libres de déterminer leur capital

Résultat de recherche d'images pour "Loi portan la réglementation du capital des sarl"Les députés ont adopté à l’unanimité la loi portant réglementation du capital de la société à responsabilité limitée. C’est un pas important dans la création des entreprises. Ce projet de loi a une portée significative dans l’amélioration de l’environnement des affaires.

Le capital social minimum pour les sociétés à responsabilité limitée (Sarl), n’est plus fixé par l’Etat du Sénégal. La loi n° 2014-20 du 14 avril 2014, qui a fait passer le capital social de la Sarl de un million à cent mille francs Cfa, vient d’être remplacée par la loi n°01-2015. Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Me Sidiki Kaba, a informé que depuis le vote de la précédente loi, de nombreuses entreprises ont vu le jour. Au niveau du registre de commerce et du crédit mobilier, il a été enregistré la création de 1502 sociétés commerciales à Dakar, 135 à Thiès, 22 à Ziguinchor, 21 à Kaolack, 13 à Saint-Louis, 9 à Tambacounda, 6 à Diourbel, 4 à Matam et 3 à Kolda.
Le présent projet de loi, encore plus ambitieux, permettra à des associés, le plus librement possible, de décider ce qu’ils entendent faire avec l’outil qu’ils ont choisi pour aller à la conquête du marché. Ainsi, ils seront libres de déterminer à travers les statuts ce que sera le montant de leur capital social. Ce montant peut aller jusqu’à 1 milliard ou plus, une facilité qui est accordée à la fois aux investisseurs et aux associés. Une manière de booster l’économie, etc.

Cette loi permet aux investisseurs de se tourner davantage vers le Sénégal pour contribuer à trouver des solutions au problème urgent que constitue le chômage des jeunes et des femmes. Mais elle permettra surtout à ces catégories sociales de s’investir dans l’entreprenariat sans se heurter à des contraintes. 
                                                                                                                                                 28/03/2015

Coumba Gawlo pour un retour aux sources

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Face à la presse, Coumba Gawlo Seck a présenté son nouvel opus, «Sen Gawlo yeksina». Ceci entre dans le cadre de la célébration de ses 25 ans de présence sur la scène musicale…



La diva à la voix d’or rayonne dans une tenue décontractée et haut perchée sur des talons. Dans son antre, où elle concocte de belles sonorités pour les férus de sa musique, à Sacré-Cœur, Coumba Gawlo distribue des sourires à n’en plus finir. Heureuse de baptiser son nouveau «bébé», à l’occasion d’une séance d’écoute avec la presse, la chanteuse a tout mis en œuvre pour que la fête soit belle. Des baffles, disposés un peu partout dans la pièce devenue trop exiguë pour la circonstance, distillent les mélodies de son dernier opus, «Sen Gawlo Yeksina». Affalée sur un divan, face à ses invités, la reine du jour écoute religieusement les tubes passés un à un. Mine enjouée, elle se délecte, en même temps que les pisses-copies. 30 minutes après, le spectacle prenait fin, place à la présentation de l’album. Coumba Gawlo, en parfaite oratrice, déroule son speech. «C’est un album tradi-moderne de 6 titres (Sen Gawlo Yeksina, Diery Dior Ndella, Ndamello, Ndiawnaré, Chambre 105, Ngougou-ouri)», précise-t-elle d’emblée. En bonus, un 7e morceau, «Woy rek ma war», que la chanteuse, veut imposer comme un hymne, histoire de célébrer sa riche carrière. Une carrière qui dure depuis un quart de siècle et pendant laquelle, elle n’a cessé de faire rêver les mélomanes. Dans cette nouvelle production, Coumba prône un retour aux sources, à travers la Culture et la Tradition orale. Par la même occasion, l’interprète de «Pata Pata» rend un vibrant hommage aux artistes traditionnels, de la trempe d’Abdoulaye Mboup, Ndiouga Dieng, Fatou Kiné Mbaye, sa propre mère. Ces précurseurs qui ont donné une touche purement africaine à la musique sénégalaise, grâce aux instruments traditionnels. La diva a également plaidé pour la paix et la concorde nationale. Revenant sur le titre de l’album «Sen Gawlo Yeksina», elle renseigne que c’est pour elle, une manière de montrer sa fierté d’appartenir à une famille griotte et Gawlo, qui lui a appris à respecter les valeurs. C’est aussi pour elle, un moyen de remercier son public qui la suit depuis toutes ces années. Et pour la perfectionniste qu’elle est, cela passe forcément par la rigueur qu’elle met dans la confection de ses albums. Le résultat au bout de l’effort, Coumba se surprend même à être fière de ses œuvres. «En écoutant mes morceaux, j’éprouve un sentiment de fierté. Je me surprends à vouloir percer ce mystère de la vie, lorsque j’ai des mélodies. Je me dis alors que Dieu est Grand. Je Lui rends grâce car, Il m’a tout donné», lâche-t-elle mélancolique et joviale à la fois, comme la plupart de ses chansons.

Sur un autre ton, un autre registre, Coumba Gawlo a abordé le programme lié aux festivités de ses 25 ans de musique. Un programme riche et alléchant sur plusieurs dates, pour tous les âges. Comme quoi, un quart de siècle, ça se fête ! 

Les autorités contrôlent la charge à l’essieu et le gabarit de «Diamniadio»

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En vue de  prendre en charge le problème de l’insécurité sur les routes, le ministère des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement a fait hier, une visite au site de pesage de Diamniadio.
                                      
Un véhicule poids lourd s’arrête sur le pèse-essieux, et immédiatement, l’acquisition des données se transmet vers l’unité centrale, puis, le boîtier électrique de traitement transmet les données vers le Pc avec un logiciel d’enregistrement de données d’acquisition et traitement d’exploitation de la base de données par le logiciel d’établissement de rapports et statistiques et voici l’impression des résultats. Puis, un autre et un autre, jusqu’à  près d’une cinquantaine de camions dans la matinée. C’est ainsi que fonctionne le système de pesage à «Diamniadio». C’est un vent poussiéreux qui accueille journalistes et autorités. Descendant des bus et autres véhicules, la délégation rejoint vite la tente qui fait face au poste de pesage pour la visite de contrôle. L’un des cinq (5) sites en service pèse essieu fixe au Sénégal a été visité par la direction routière et les représentants du Groupe Afrique pesage. La mise en œuvre du contrôle de la charge à l’essieu vise à réduire le taux de surcharge de 20% par an, à sauvegarder le patrimoine routier, à réduire le taux d’usure des véhicules de transport de marchandises et enfin, atteindre un taux maximal de surcharge de 10% en 2017. En effet, les surcharges des camions de transport de marchandises provoquent des dégradations sur le réseau routier national, dont le coût de la réparation est estimé à 45 milliards de Francs Cfa. Cette visite entre donc, de l’avis de la directrice des routes, Marième Ndoye, dans le cadre  des activités du comité mis en place au ministère et au sein duquel les transporteurs font remonter les difficultés qu’ils rencontrent au contrôle de la charge à l’essieu. A retenir que depuis lors, les tolérances ont été harmonisées à 20% sur les poids et charges à l’essieu et à 80% sur les amendes, soit 4000 Franc Cfa la tonne dans le pays et 12000 Franc Cfa si le transporteur sort du territoire national.
Les transporteurs réclament le panneau d’affichage

Même s’il s’agit d’un effort à saluer dans la lutte contre les surcharges sur les routes pour la plupart, les transporteurs eux, dénoncent la «non fiabilité» des instruments de contrôle. Il y aurait eu, par le passé, un afficheur qui montrait la charge exacte du camion, mais hier lors de la visite, ils ont souligné l’absence de ce panneau d’affichage. Autres manquements, selon le secrétaire général du syndicat des transporteurs du Sénégal, Gora Khouma,  il y a deux systèmes de pesage, mais ils préfèrent n’en utiliser qu’un seul. «Le Sénégal n’a pas encore un bon parc, l’Etat du Sénégal devait attendre  que le parc soit renouvelé pour qu’on puisse avoir des véhicules répondant à ces normes. Nos camions ne peuvent continuer qu’avec le système de pont-bascule et non avec le pèse-essieux. Nous ne disons pas que nous n’en voulons pas, mais nous réclamons la fiabilité et le sérieux dans le travail», dit-il. Ils ont également confirmé la tenue d’une grève qui se déroulera du 26 au 28 février 2015.

Madame la directrice a rassuré que des dispositions seront prises d’ici à la fin du mois pour la remise en service des afficheurs, qui «vont contribuer au respect et à la confiance vis à vis des transporteurs».
                                                                                                                                                 19/04/2015